CV

• AVATAR :
  
• NOM: Medvedev
  
• PRÉNOM : Morphée
  
• SURNOM : Muffin ou Muffin Transgénique
  
• ÂGE : 17 ans et encore toutes mes dents !
  
• DATE DE NAISSANCE : 1 janvier
  
• NATIONALITÉ : Papounet Russe, Mamounette Egyptienne
  
• TALENT : J'ai des trucs cool et des trucs moins cool. Par exemple, j'arrive jamais à dormir plus d'une heure : ça c'est pas cool parce que j'aime dormir mais au moins j'ai du temps pour moi. Je ne suis jamais malade alors que je fume comme un pompier (6 paquets par jours) depuis mes onze ans : ça c'est cool parce que c'est pas avec moi que les toubibs seront riches mais c'est moins cool pour les congés maladie. Je suis daltonienne aussi, ça c'est pas spécialement dérangeant, je serai pas peintre quoi. Je sais parler Russe, Egyptien et Anglais parfaitement, jtrouve pas ça super important mais bon. Le mieux c'est que je suis une virtuose à la guitare éléctrique, ça c'est mon gros trip ♥ J'ai quand même eu quelques problèmes à cause de mon émophilie, c'est vraiment pas pratique, heureusement que je ne suis pas maso, je serai dans la merde sinon. Et puis y a aussi ce petit détail de rien du tout : je suis une hermaphrodite. Une hermaphrodite fille pour être exact (Poitrine de mec, visage de fille, sexe de fille, pas de règles donc pas de gosses). Ca me sert vachement quand je veux changer d'identité. Et hop ! Magie magie ! Pratique hein ?
  

• Votre histoire :
  
  ~ Мои этнические происхождение, mes origines ethniques.
  
  Tout a commencé bien avant mon existence. Mon père, 100% russe, était un homme d'affaire travaillant dans une entreprise de textile mondialement connue (il en est le directeur maintenant). Il a toujours été un bourreau du travail et un jour, en faisant un voyage d'affaire en Egypte, il a rencontré une jeune femme. Ma mère. Il est tombé follement amoureux d'elle et a décidé de la ramener dans son pays pour qu'elle lui fonde une jolie famille et qu'ils vivent heureux tous ensemble.
  Enfin bref, un joli petit conte de fée, quoi... Mais les contes de fée ne sont malheureusement pas parfaits et oui, on ne parle pas du Prince qui est en fait un bourreau du travail ET des cœurs et de la Princesse qui commence à lentement mais sûrement dépérir. Fin bon, je m'éloigne.
  Alors, ils firent tout d'abord un adorable petit garçon qui pourra prendre la relève de son papa puis, pour compléter la famille parfaite, il fallait aussi une petite fille.Sauf que c'est bali balo ils ont eu une hermaphrodite daltonienne (deux pour le prix d'un !). C'est ainsi que je suis née, un 1 janvier. Pour les prénoms, ils utilisèrent un nom totalement russe pour mon frère, Yulian, tandis qu'ils furent plus originaux avec mon prénom : Morphée (le sommeil c'est sacré). Pourtant, malgré ce nom plus qu'explicite, je développai une insomnie aigus. Une qui allait durer toute ma vie et me pourrir chacune de mes nuits, sans exception. Un cauchemar où je cours à m'en rompre les poumons dans un couloir sans fin aux murs blancs immaculés. Une porte m'apparait enfin mais lorsque je vais toucher la poignée, je me réveille en sursaut, le corps dégoulinant de sueur. Chaque nuit je n'arrive à dormir qu'une heure.
  
  ~ Мое детство, mon enfance.
  
  Continuons sur notre lancée en matière de contes de fée. Je suis née et j'ai vécu une enfance tout à fait heureuse malgré l'absence de mon père. J'étais dans un grand manoir avec ma mère, mon grand-frère et des domestiques, la classe, quoi. Bon OK, j'exagère, ce n'était pas vraiment un grand manoir mais, tout simplement, une maison plus grande que la normale et il n'y avait pas « des domestiques » mais une bonne qui venait le lundi et le jeudi mais bon, c'était déjà plutôt pas mal, non ?
  Mon père travaillait comme un forcené et il ramenait de l'argent à la maison et ma mère le dépensait joyeusement dans des sacs à mains et des paires de chaussures plus excentriques les unes que les autres. Quoi ? Pourquoi faites-vous cette tête ? Je vous dis tout simplement la vérité. Mon père travaillait, ma mère dépensait, c'était ainsi et tout le monde se portait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais il fallait savoir qu'il y avait une signification plus profonde, d'après nos chers psychologues, derrière cette folie du shopping, ce besoin de faire cette collection. C'était tout simplement lorsque ma mère se sentait mal, seule, abandonnée dans sa grande maison qu'elle sentait le besoin d'acheter tout ce bric à brac et si mon père lui avait offert ce superbe bijou alors que ce n'était ni son anniversaire, ni sa fête, c'était parce qu'il devait se faire pardonner de ne pas avoir été assez discret avec sa énième maîtresse et que, pour la forme, il devait se faire pardonner.
  De toute façon, il savait bien que ma mère était piégée et ça, il l'avait prévu dès le départ en allant la chercher à l'autre bout de la planète car, ici, elle n'avait ni amis, ni famille et elle n'avait pas de travail alors elle n'aurait jamais pu s'en sortir avec deux enfants dans la rue.
  Alors, comme elle ne travaillait pas, ma mère s'occupait de notre éducation. Fin plutôt de celle de mon frère, héritier de l'entreprise de son papa. Il fallait qu'il soit parfait, poli et très intelligent. Mon frère se fondait parfaitement dans le moule qu'on lui avait imposé. Mais ce n'est pas pour ça qu'elle m'oubliait, ah ça non, je devais être la charmante fille du directeur de cette entreprise, souriante, jolie et divertissante. Ce qui était assez compliqué puisque j'avais une tête de fille mais un corps de garçon et que mes frais de psy et de médecins pour mon insomnie ne passaient pas inaperçus. L'intelligence, on s'en fichait un peu et puis, même, il ne fallait pas que je le sois trop car je risquais de déplaire à ces messieurs car, oui, le but était de me marier le plus rapidement possible à un riche homme d'affaire afin que je vive une vie heureuse... Moui, c'était pour mon bonheur après tout. Donc, tandis que mon frère étudiait avec un précepteur particulier, moi, j'apprenais l'art floral, je pratiquais le piano et j'apprenais à peindre (mon problèmes des couleurs a vite découragé ma mère) mais j'étais la petite Princesse qui avait tous les droits et aucune limite et je peux vous dire que j'en profitais.
  Malheureusement, ce n'était pas fait pour durer car ma mère commença à ne plus supporter cette situation, ce chantage où elle était en totale position de faiblesse et elle commença à déprimer tout doucement. Les sacs et paires de chaussures se multiplièrent, ils allèrent par dizaine, vingtaine et les disputes devenaient de plus en plus violentes entre mes parents. J'avais à l'époque seulement dix ans et je ne supportais plus tout ceci, je pleurais tout le temps et devenait beaucoup trop sensible à ce genre de choses. Mon frère, plus fort, continuait de garder son masque alors qu'à l'intérieur, il pourrissait lentement et j'aurais certainement pu finir comme lui si moi, je ne me gênais pas pour exprimer bruyamment ma tristesse.
  
  ~ Юность, l'adolescence.
  
  Un jour pourtant, je devais avoir quatorze ans et je continuais mes crises d'hypersensibilité, mon frère me regarda avec un air glacial lorsque je me mis à pleurer à cause d'une violente dispute entre mes parents et il me cracha dessus « Кричать не будет изменять ничто. », c'est-à-dire « pleurer ne changera rien. ». Mes pleurs s'arrêtèrent brusquement car il avait toujours été aimable et doux avec moi et je le regardais vraiment pour la première fois. Il avait bien changé depuis quatre ans et même si physiquement, il avait toujours son physique d'Apollon, ses traits prenaient un rictus cruel et je compris immédiatement qu'à force de tout garder pour lui, son cœur avait tout simplement pourri. Il était devenu comme ces hommes d'affaires véreux et manipulateur et c'était maintenant beaucoup trop tard pour le changer. C'est alors que sans m'en rendre compte, quelque chose changea en moi, quelque chose fut cassé et ce, peut-être à tout jamais. Je regardais mon frère encore une fois en voyant tant de souffrance, en voyant que je n'avais jamais remarqué son changement et je me mis à relativiser sur ma réaction. Je décidais de changer. Je ne voulais pas finir comme ma mère piégée dans un affreux chantage de la sorte alors, je me mis à étudier les cours de mon frère, en cachette.
  Bien sûr, j'avais déjà les bases. Je savais compter, lire, écrire et je devais avoir un niveau d'un cancre de mon âge mais je décidais de perfectionner tout ça. Et puis, face aux disputes de mes parents, je pris la décision de ne plus jamais pleurer et pour la première fois, je répondis « Я не заботюсь » ce qui voulait dire « Je m'en fous ». D'accord, le cœur n'y était pas ce jour-là mais les suivants devinrent de plus en plus sincères et à la fin, je le pensais vraiment lorsque je le disais.
  Si je ne pouvais pas pleurer, je devais passer au-dessus de ces ennuis et relativiser, c'est pour ça que je me cachais derrière une barrière je-m'en-foutiste trop joyeuse et extravertie au départ mais elle devint beaucoup plus solide que je m'imaginais pour finalement devenir une prison dont je ne pouvais sortir...
  Mon manque de sommeil m'isolait encore plus du monde, empilant une seconde barrière à la première.
  C'est là que je découvris la musique sous un autre angle. Ce jour-là, je me rappelais de tous les détails et je vais vous le raconter.
  
  ~ Визуальный, les Visual Kei
  
  J'avais contourné l'interdiction de mes parents et j'avais décidé de me balader en dehors de la propriété de ceux-ci. Ils ne veulent pas que je sorte parce qu'avec mon émophilie ils ont peur que je me coupe et que je crève à cause d'une égratinure. Bref, après avoir marché un bon moment, je m'étais retrouvé dans une ville. Je ne savais pas vraiment où aller alors je marchais droit devant moi puisque c'était la première fois que je désobéissais à mes parents et que je sortais du cocon familial.
  Soudain j'entendis un style musical que je n'avais jamais entendu. C'était rapide, rude et pour une fois, il y avait des paroles qui voulaient dire quelque chose de sérieux. Et oui, j'étais née avec de la musique classique, sans parole et lyrique à souhait et ce genre musical commença à m'intéresser et m'hypnotisa dès la première écoute. Je restai tétanisée, pour une fois intéressée par quelque chose et ils me remarquèrent au bout d'un moment. Un d'eux s'approcha de moi, méfiant car il avait reconnu en moi une bourge bien élevée avant de me demander :
  
  « Qu'est-ce que tu veux ? »
  
  « C'est quoi cette musique ? »
  
  « Ça ? » Il me regarda avec un air moqueur et sûr de lui, « du Visual Kei, chérie. » Il eut l'air d'hésiter. Clair que mon corps était celui d'un mec, aucune forme à l'horizon !
  
  En le regardant de plus près, il ne ressemblait pas du tout aux genres de garçons que j'avais l'habitude de voir, il avait les cheveux colorés en rouge et vert avec des piques et ses vêtements m'aveuglaient tellement ils étaient colorés. Je n'arrivais même pas à me décrire ce qu'il portait. Du tissus partout et de la couleur. Je ne me laissais pas impressionner, trop intéressée par le style musical et sortis avec un air de défi dans le regard :
  
  « J'aime. »
  
  C'est ainsi que je me retrouvais à revenir les voir de temps à autre afin d'écouter leur musique. Au départ ils avaient été réticents à me voir arriver comme ça puisque je ne correspondais pas tout à fait à leur groupe puis ils m'acceptèrent et à la fin, ils m'attendaient presque avec impatience environ deux fois par semaine dont une en faisant le mur.
  Ma mère ne réagissait pas à mes disparitions car je lui sortis comme excuse que je prenais des cours particuliers dehors et qu'elle n'avait pas à s'en faire, elle me croyait puisqu'elle n'avait pas trop le choix et puis, elle s'en fichait un peu, je crois...
  Puis, lorsqu'ils virent que ma passion pour cette musique m'atteignaient de plus en plus, ils décidèrent de m'apprendre la guitare électrique et je pris des cours avec enthousiasme, j'avais quatorze ans, bientôt quinze et je me débrouillais assez bien tout simplement parce qu'ils étaient bons professeurs. Je pris aussi leur façon de penser car ils commencèrent à m'influencer et mon attitude « je-m'en-foutiste » fut compléter par une « Do It Yourself » (faites-le vous même) qui me rendit beaucoup plus autonome. Je me mis aussi à refuser l'autorité, à boire (beaucoup beaucoup) et surtout à fumer (beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup etc). Je m'enfermai derrière une nouvelle barrière, celle de l'excentrique et de la folle de service.
  
  ~ Западня, le piège
  
  A la rentré des cours - j'avais alors déjà fêté mes seize ans depuis longtemps- ma mère, dépassée, eu une idée et me fit passer une espèce de contrat. Je devais apprendre l'anglais à la perfection et en échange, j'avais le droit de faire TOUT CE QUE je voulais sans avoir la moindre réflexion alors pendant un an, je me mis à apprendre cette langue sans penser qu'elle avait une idée derrière la tête. Eh bien oui, comment aurais-je pu imaginer qu'elle voulait m'éloigner de mes amis Visu et me faire ramener encore plus d'argent en me fasisant travailler dans une entreprise quelquonque ? Alors, tout naturellement, trouvant la proposition alléchante, j'avais accepté. Pendant un an, j'appris cette langue en plus de mes études (car elle avait totalement abandonné l'idée de me faire devenir comme elle, à son tour) et finalement, à mes dix sept ans, je savais parfaitement parler et écrire l'anglais (j'avais encore un ptit reste d'accent Russe, faut pas rêver hein).
  C'est alors que je décidais de devenir visual kei même dans mon style vestimentaire, et que je me fis une teinture rouge flamboyant, coupant court mes beaux cheveux noirs par là même occasion et ajoutant en bonus six piercings et une dizaine de tatouages. Ma mère fut totalement horrifiée et décida immédiatement de mettre son plan à exécution en m'envoyant à la recherche d'un boulot. J'ai trouvé une annoce bizarre dès le premier jour de recherche et je prenais l'avion le soir même pour me rendre à la Waldon Corporation © Mes amis n'avaient même pas pu être prévenus... Je serais sûrement l'une des plus mals gradées de l'entreprise. Mais à cette époque, je me fichais bien de ce qui pouvait m'arriver, je me contentais de vivre et puis, on verrait bien pour le reste.
  Arrivée sur place je commençai à creuser ma tombe : "Voilà, c'est la fin ma ptite Muffin. T'es arrivée à Cul-cul land." Si l'enfer existe, il se peut que je veuille y aller en vacances après mon séjour dans ce camp où les filles sont niaises et bien sages et où les mecs ont un balais coincé dans le cul Zentil petit employé veut faire plaisir à zentil grand patron "Vas-y donne moi du fric mon vieux" était ma propre traduction de ce dévouement. Bah au moins j'ai pu emmener ma gratte mais je doute qu'il y ait des visual ou simplement des rockeurs dans cette entreprises d'esclaves. Et bien il n'y a plus qu'une chose à faire : m'installer ici et voir. Ouais juste voir, c'est cool ça comme planning... Et puis qui voudrait d'une hermaphrodite visual à tendances punko rebelles dans cette corporation ?! Quoique, ils avcaient bien dit qu'il fallait des gens zarb, au moins j'avais toutes les qualifications requises. Et le mieux, c'est que c'était putain de bien payé ! Pas question que j'en envoie une goutte à ma famille de pommés. Avec tout ce fric, je pourrai m'achter autant de clopes et d'alcool que possible.
  Après mon entretien d'embauche (où le mec m'a même pas regardé) que j'ai évidemment réussi j'ai pû constater avec soulagement qu'aucun travaille ne m'attendait. Ca c'est le boulot de ouf ! Super bien payé, aucun diplômes demandé et aucun boulot à faire. J'aurai tout le temps que je veux pour jouer de la gratte, fumer et boire. Et en plus y a un beau gosse ! Il est à tomber par terre ! Il a un nom délirant : Msieur Rose ! Hahaha ! Je sens que je vais bien me foutre de sa gueule ♥
  
  Ils sont quand même zarb dans cette entreprise. Faudrait que j'aille un peu explorer tout ça...
  
  
  
  
• Description physique : Grande et élancée, plate comme un mec, Morphée est une jeune fille à l'étonnante beauté androgyne qui lui permet de se faire passer pour un jeune homme aux traits efféminés. Ses cheveux à l’origine noirs corbeaux et longs subissent des métamorphoses régulières mais démentes. Une fois très longs tressés et colorés de rose et bleus, une fois rasés sur les côtés et coiffé en piques rouges verts et orange. Il lui arrive parfois de les laisser noirs et sans coiffure particulière. Enfin bref, que de diversité colorée ! Complètement imberbe, son côté féminin peut donc être pratique, pas de rasage sous les bras, pas d'épilation aux jambes. Rien !
  Ses yeux noir obsidienne sont toujours maquillés, et quand je dis maquillés c’est impossible de rater cette œuvre d’art. Avec du rose et du noir pour la plupart du temps ou du bleu et du noir. Mais elle na jamais réussi a cacher les crevasses noires qui lui servent de cernes et qui lui donne une gueule de zombie (attention âme sensible s’abstenir). Elle sait faire de la magie aussi ! Faire tenir une cinquantaine de strass sur sa joue c’est de la magie sérieux. Moi je m’incline.
  La jeune fille a aussi investit dans des lentilles de couleur. Une différente pour chaque jour de la semaine. Rouge, blanc, bleu électrique, violet, vert flash, jaune et rose. Mais malheureusement elle est daltonienne et ne profite pas aussi bien qu’elle l’aurait voulu de la beauté des couleurs.
  Sans conteste, Morphée a hérité de la beauté de sa mère, Chimra, ce qui contraste très nettement avec son caractère complètement déplacé, hérité lui, d’aucun membre de sa famille.
  Du vernis orne chaque jour ses longs ongles qu’elle chérit tant. Là encore Morphée fait dans la diversité et change de couleur tout les jours. Les même couleurs que ses lentilles en ajoutant le noir de ses yeux.
  
  • Vêtements : Que dire que dire ?
  Le style vestimentaire de Morphée se rapproche du Visual Kei mais tourné à la dérisions. Du rose partout, du vert, du bleu, du orange. Toutes les couleurs illuminent tour à tour la jeune fille excentrique.
  Pour le plus souvent elle a un t-shirt moulant et très coloré (Même en hivers, elle n’a pas froid aux yeux la petite), accompagné d’un bas de kimono très long et bouffant, rose vert ou bleu. Elle ne possède que des couleurs flash, même si le noir est sa couleur préférée, ce ne sera jamais en vêtement, ou alors en cas d’extrême urgence ou en rapport avec son humeur.
  Un grand manteau violet avec le col en fourrure, un t-shirt moulant avec des têtes de morts plus délirantes les unes que les autres. La diversité incarnée cette fille.
  Quand le matin elle a la flemme de se coiffer sérieusement ou que tout simplement elle n’en a pas le temps, Morphée s’enfonce soit une casquette rose sur la tête, soit un bonnet bleu en tissu fin.
  Malgré son tatouage entourant son cou, elle porte en plus au moins un collier. Généralement c’est un « peace and love » orange, une mini pipe jaune fluo, une tétine rose ou autres petits objets de ce style.
  Ai-je omis quelque chose… Les lunettes de soleil ! Alalala, comment oublier ces chères lunettes de soleil ? Des roses, des blanches, des vertes, bref, tout aussi colorées que ce que possède Morphée. Ses piercings aussi sont colorés et de différentes formes. Une fois une chaîne reliant son oreille à sa lèvre, une fois un trombone jaune fluo à l’oreille et un tourbillon rose à la lèvre. Elle a même essayé les crayons de couleur dans l’oreille. Que de couleurs !
  
  • Autre : Grande collectionneuse de décorations corporelles. En voici un petit inventaire : Un piercing à l’arcade sourcilière, un à la narine, un à la lèvre, un à l’oreille droite et deux à l’oreille gauche. Les formes et les couleurs varient autant que ses coiffures et ses lentilles.
  Un grand tatouage sur le haut de sa poitrine, pleins le long de ses bras et un petit sur chaque doigt de ses mains.
  Collectionneuse comme je disais. Il lui arrive parfois de s’écrire Morphée sur la joue. Elle envisage même de se rajouter des piercings. Où ? Mystère et boule de gomme. Peut-être en bas là où y… Ok je crois que vous n’avez pas besoin de précisions.
  C'est une fumeuse (pas que de clopes) professionnelle et une alcoolo avérée (Get 27 et Vodka tous les soir !). Une vraie dépendante de tout ce qui nuit gravement à la santé, c'est cool de jamais être malade...
  
  
• Description Morale : Extravagante, excentrique, exceptionnelle… On va arrêter avec les ex.
  Enfin bref, vous avez compris, Morphée ne rentre pas dans la catégorie ordinaire qui passe inaperçue. Déjà ses goûts esthétiques ne l’aident pas vraiment, mais même si elle s’habillait « normalement » on la remarquerait facilement, peut-être trop facilement pour certains. Déclinons sa personnalité en points :
  ~ God : C’est le moins qu’on puisse dire. Elle se prend d’ailleurs pour Dieu et ce n’est pas un délire, elle le pense sincèrement (ça en dit long sur sa santé mentale). Ça ne fait pas d’elle une personne détestable car son rôle de Dieu ne se résume qu’à « Je suis parfaite », « A genoux devant ma grandeur », « Ne me regarde pas ou tu vas devenir aveugle devant tant de class ». Sûr, ça lui crée des ennemis, mais certaines personnes s’habituent, ou au moins ignorent ces tirades cultes.
  ~ Complexes Girl : Malgré sa conviction d’être parfaite, Morphée est une des plus grandes complexées que cette terre ait jamais porté (Logique est un mot banni du dico interne de Muffin). Elle se trouvera toujours des défauts les uns plus incongrus que les autres (ex : « Ma paupière gauche est penchée de trois degrés de trop vers le bas »).
  ~ Stupid or Small : Beaucoup pensent qu’elle est conne, c’est vrai qu’elle n’est pas très futée et donne encore moins l’impression d’avoir un cerveau en état de marche, mais les apparences sont trompeuses ! Ses cours se résument à regarder par la fenêtre mais ses notes sont excellentes (17 de moyenne générale).
  ~ Happy Girl : Elle rit pour rien, sourit à tout le monde, blague sur tous les sujets possibles, bref une « Love the World ». Un peu moins depuis son arrivée quand même...
  ~ Conneries Girl : C’est une fille qui n’hésite pas à faire les pires conneries du monde : « On est jeune et c’est bien maintenant qu’on doit faire ça ». Voilà ce qu’elle dit aux flics quand ils la choppent. Flics ?
  ~ Chieuse Girl : Oui flics, Morphée n’aime pas spécialement les règlements, et encore moins les respecter. Et puis enfreindre les règles, c’est toujours marrant.
  En sixième et en cinquième on ne lui disait rien sur son comportement et ses vêtements parce qu’elle était une très bonne élève, mais en quatrième et troisième, ça a été moins facile. Heures de colle sur heures de colle, consultation d’un psy (qu’elle envoyait toujours bouler) etc.
  ~ Pas Dodo : Une pure insomniaque cette fille ! Et pourtant ses parents l’ont appelé Morphée en honneur au dieu grec du sommeil Morphée, rien à faire, Muffin dort à peine. Mais dieu seul sait qu’elle aime dormir, c’est son fantasme le plus fous d’ailleurs. Malheureusement son cauchemar se répète chaque nuit, toujours le même, depuis dix huit ans. Dix huit ans qu’elle court dans ce couloir sans fin, qu’elle s’étouffe avec son propre souffle, qu’elle devient sourde à cause de ses propres battements de cœur. Chaque nuit elle n'arrive à fermer l'oeil qu'une heure. Dix huit fois trois cent soixante cinq ça fait… Beaucoup certes mais surtout ça fait plus de six mille fois qu’elle fait le même cauchemar et qu’elle ne sait toujours pas où mène ce maudit couloir. Elle ne se sent jamais fatiguée mais ses cernes aussi profondes et noires qu'un canyon témoignent d’un profond trouble de la santé.
  ~ Dangerous Girl : Un défi ? Pour Muffin Transgénique ! Morphée relève tous les défis possibles, qu’ils soient humiliants, dangereux ou autre. C’est ce qui l’amène souvent chez ses amis à plumes j’ai nommés Poulets. Elle s’est déjà retrouvée à l’hôpital après une escalade impossible du premier étage de son ancien lycée. Ou encore en train de danser à poil sur le bureau du directeur de ce même lycée (ça prouve l’état inquiétant de son esprit).
  
  
  
• Pourquoi voulez vous rejoindre les rangs de la Waldon ? Fric @_@ ... Et beaux gosses aussi ♥
  

JOUEUR

• SURNOM : God 8D
  
• ÂGE : 15 ans
  
• Comment avez vous découvert le forum ? Top sites
  
• Avez vous été parrainé ? Nop
  
• Avez vous déjà pratiqué un meurtre sacrificiel sur l'un de nos clients ? Bon par John = D
  
• Le mot de la fin? Clope *_*