CV

• AVATAR :
  
• NOM: Perkins
  
• PRÉNOM : Sarah
  
• ÂGE : 23 ans! Paraît-il.
  
• DATE DE NAISSANCE : 17/09/1987
  
• NATIONALITÉ : Anglaise! (Non, c'est pas une japonaise!! Horreur!)
  
• TALENT : Elle a survécu à son bureau! (Il faut comprendre, son bureau n'est pas un bête machin quadrupède en bois, c'est un monstre primitif anthropophage animé des pires intentions qui tente d'engloutir impitoyablement tout être humain sous des piles théoriquement impossibles du fait de leurs taille de feuilles non classées, de trombones, de sous vêtements, de capsules de café utilisées et de pots de nutella vides, sans oublier un petit cadavre de ci de là, à savoir la stagiaire qu'on avait pas retrouvé depuis le dernière effeuillement.) Au cours d'études totalement désuètes entre deux pauses café, et une expédition de secours pour sauver ceux pris dans l'avalanche de papiers, certains en sont venu à conclure que notre courageuse Sarah est possédée par le Bordel Primitif, celui qui tente de détruire l'humanité en se répandant là où auparavant l'ordre régnait. Et étant le porteur de cette maladie atypique, notre Sarah nationale y est immunisée.

• Votre histoire :
  Sarah, à ses débuts a choisit de naître comme tout le monde. Elle est donc sortie du ventre de a mère alors qu'elle criait (de douleur, et non pas de joie), a laissé tranquillement son papa adoré tomber dans les pommes sous le coup de l'émotion (à moins que la vision de sa femme en génisse ne l'ait pétrifié d'horreur). Elle aussi a crié ce jour là, mais pas de joie non plus. Simplement parce qu'un sans cœur venait de lui taper dessus, chose désagréable entre toutes, alors elle avait hurlé pour manifester son mécontentement. Passé cet épisode qui n'est une fierté pour personne, sa génitrice ayant lamentablement chouiné après, on peut dire qu'elle fit également comme tout le monde après son arrivée dans ce monde de larmes et de désordre.
  Elle grandit, apprit à faire caca dans sa couche et l'annoncer fièrement à ses parents pour constater leur désarroi face à l'obligation de la changer, puis à marcher, ensuite à faire caca dans le pot (tomber sur les fesses alors qu'on vient de se soulager est franchement désagréable, entre nous), tout en apprenant progressivement à parler. Ensuite l'école. C'était une petite fille très sage, très appliquée qui faisait tout ce qu'on lui demandait avec le sourire. On pouvait dire que c'était une enfant modèle.
  Adolescence. Avec la crise, les boutons, les sautes de mauvaise humeur, les seins qui poussent d'abord trop tôt, puis trop lentement, les règles (foutues règles) et les hormones qui commencent à faire la samba dans son corps. Là encore, elle a fait comme tout le monde. Elle a rembourré ses soutifs, s'est maquillée, a crié avec ses amies que les parents, c'est tous des cons, a laissé sa chambre un peu en désordre (juste de quoi ne plus voir le sol en gros). Une seule chose ne changeait pas. Son avidité de travail. Elle n'était pas stressée, même carrément je-m'en-foutiste, mais il y avait une chose qu'elle ne tolérait pas, et c'était bien ne pas travailler.
  
  A cette période, ses parents ont choisit de divorcer. Commencèrent alors les manèges des aller-retour père/mère une fois par semaine. Et c'est là que vint la ré-vé-la-tion: A quoi bon ranger alors qu'on doit à chaque fois tout déranger chaque dimanche?
  C'est à partir de ce moment là que tout commença à partir au va-l'eau. En effet, même si au début, ca ne se voyait pas trop, les choses prenaient de l'ampleur. Du sol qu'on ne voyait plus, on commença à avoir cinq centimètres de bazar un peu partout par terre. Puis vint le bureau... Son bureau chéri. A force de faire des piles, celles-ci commencèrent alors à s'agencer selon un système de plaques tectoniques animées d'une volonté et d'un mouvement propre, ce qui faisait qu'à chaque éternuement provoqué à côté d'elles, il y avait des représailles monstrueuses visant à détruire la personne ayant produit ce même éternuement. Ses parents n'essayèrent même pas de lui dire de ranger. L'une était concentrée sur son jeu qui consistait à coucher avec le plus de personnes en une semaine, l'autre tentait de supplanter son chef, et restait au bureau pour pouvoir mieux travailler.
  Certains supputent que c'est à force de se ramasser des piles sur la tête qu'elle est devenue ce qu'elle est maintenant.
  Pour son bureau et ses piles naquit une profonde affection, et elle les nomma respectivement Edward et Babel. (Babel un, deux, trois....). Au moment de choisir son orientation, pensant à son cher Edward et ses Babels qui l'attendaient impatiemment chez elle, elle décréta qu'elle voudrait travailler dans un bureau. Ses enseignants décrétèrent qu'elle voulait être secrétaire, et c'est ainsi qu'après avoir suivit les études nécessaires, elle le devint.
  
  Son premier travail fut très amusant. Rapidement, et sans demander l'avis de personne, elle s'octroya le titre de secrétaire en chef par la force (d'où l'intérêt de ne demander son avis à personne). En moins d'une semaine, elle avait créé dans tout le service Babel 9 jusqu'à 129. En même temps, elle avait formé les plus prometteuses à la rude tâche qu'était celle d'être une bonne secrétaire. Elle leur fit donc une formation accélérée (six jours) où l'escalade, le self défense, la chasse urbaine, la culture de champignons, l'utilisation d'explosifs, l'archéologie, la cryptographie et les gestes de premier secours étaient au rendez vous.
  Son supérieur ne venait jamais, et quand bien même aurait-il essayé qu'il n'aurait pas survécu... Jusqu'au jour de La Grande Catastrophe:
  
  -Bien Miss... Perkins?
  -C'est ca monsieur l'agent. Tu veux un café?
  - ..... Non merci. Pouvez vous nous décrire les évènements?
  - ... Et bien, ca a commencé la semaine dernière...
  -Je croyait que ca s'est passé hier pourtant.
  - Ne m'interromps pas, puceau!!
  
  Il y eut un très léger silence, pendant lequel le malheureux inspecteur passa de la colère et la haine subite à la crainte, et finalement la colère renfermée et comprimée. Sarah avait levé ses lunettes et avait activé la compétence "intimidation" de son panel.
  
  -Je disais donc. Il y a une semaine, il y a eu un épidémie de grippe, vous le savez bien. En décembre, tout le monde choppe la crève. Moi la grippe, ca me dérange pas, tant qu'on peut encore marcher, j'accepte tout le monde. Mais Sir Wallas
  -Vous voulez dire la victime?
  -Oui, lui. Bref, Sir Wallas a attrapé un rhume. Immédiatement, j'ai prit les mesures qui s'imposaient, et je l'ai mit à la porte jusqu'à ce qu'il arrête de tousser et éternuer constamment. Mais il est quand même revenu! Moi je n'était pas là à ce moment là. En effet, Laetitia nous a lâché, et j'ai du aller chercher du café dans le service en dessous.
  - Laetitia? Qui est-ce donc?
  - La machine à café, qui veux tu que ce soit d'autre?
  - .............. poursuivez.....
  - Je disais quoi moi... Ah, oui, Laetitia! C'est une petite adorable, très travailleuse, seulement, elle est un peu capricieuse. Il ne faut pas trop la forcer. En effet, lorsqu'on lui tire plus de trois litres en une heure, elle commence à bouder. Son café est alors extrêmement sucré, ce qui est intolérable pour un café! Ce faisant, pour appuyer son mécontentement, elle tapa du poing sur la table. Lorsque je suis arrivée, il était en train de discuter avec Babe
  -Babe? La personne que vous avez désignée comme coupable? Babe Hundred, c'est ca?
  - Mais non! Je vous parle de Babe! La petite blonde à qui vous avez reluqué le soutien gorge ce matin! D'ailleurs, elle a fait un effort pour vous, elle en a mit un en dentelle. D'ordinaire, elle porte des brassières. Vous voulez son numéro? Il est quelque part dans mon bureau. Je pense que d'ici une semaine ou deux, je devrait parvenir à le déterrer.
  - .... Miss Perkins, ne nous éloignons pas du sujet.
  - Ce que vous pouvez être rabat joie! Je disais donc que Wallas parlait à Babe à côté de Babel 100. Et c'est là que cet idiot a éternué à côté d'elle. Évidemment que Babe 100 n'allait pas se laisser faire comme ca!! C'est une gamine adorable, vous savez? Je l'ai connue alors qu'elle n'était qu'une pile de courrier en retard d'à peine dix centimètres de haut. Elle avait de l'envergure, et beaucoup d'avenir. Vous savez que pour en toucher le haut, à présent, il fallait monter sur notre chaise? Évidemment, nous nous sommes bien gardés de le faire! Quoi qu'il en soit, ma belle est très patiente, mais quand même, il ne faut pas l'insulter! Alors tout de suite, elle s'est renversée sur lui! Et c'est là que c'est le drame, parce que dans Babel 100, il y avait mon équerre personnelle en fer que j'avais aiguisée moi même pour empêcher ces abrutis du service de la compta de venir chercher leurs foutues factures! Et là manque de chance, mais très belle prouesse de la part de Babel 100, l'équerre s'est enfoncée dans la gorge de Wallas. Une mort par trauma crânien aurait été bien plus pratique, parce qu'il a mit du sang partout, et...
  
  L'entretient se poursuivit pendant encore une heure, et finalement, les services policiers finirent par décréter que tout le service avait été atteint de crise d'hallucinations délirantes, à cause d'un mauvais produit versé dans le café pour imiter la caféine sans en mettre afin de faire des profits. On fit donc un procès à Nasspresso, et Sarah retourna sur le marché du travail. En effet, après cet accident regrettable, l'opinion et la presse avaient descendu en flèche la boîte où elle travaillait, et du coup, celle ci avait fermé. Elle passa plusieurs entretiens d'embauches, tous étrangement soldés par un échec (l'antépénultième, c'était parce que la femme qui l'entretenait avait un stylo rose à paillettes. Or, elle en a la sainte horreur, ainsi Sarah avait tenté de supprimer l'infâme à l'aide de Myriam, la chaise où elle s'était assise.)
  Jusqu'à celui pour la Waldon...
  
  
  
• Description physique : Et ben la Sarah, elle est humaine!! Si si, parfois, on pourrait avoir des doutes, alors je le précise. A quoi elle ressemble? A une bombe humaine! Si si, elle saute dans tous les sens avec une fiche de déclarations d'impôts tout en hurlant haut et fort qu'elle exige qu'on lui donne là maintenant tout de suite le relevé des recettes de l'année dernière, sans oublier de passer remplir son thermos de café, puisqu'elle l'a bu cul sec. Elle a des ressources d'énergies inépuisables. C'est à se demander comment elle fait dans la mesure où elle est à fond dans tout ce qu'elle fait, qu'elle cumule les heures supplémentaires, et surtout les heures de sommeil en retard. Entre nous, elle est insomniaque. Mais loin de se démonter face à son visage dévoré par les cernes dans le miroir tous les matins, elle a prit les mesures qui s'imposaient. Non, elle n'a pas arrêté de ne dormir que trois heures par nuit. Elle a prit des lunettes en cul de bouteille qui cachent la partie attaquée par les vilaines valises.
  Les bureaux à ciel ouverts n'existent pas, et si jamais c'est le cas, et bien ce n'est pas pour elle. Déjà que tout fini par terre au moindre éternuement, ce qui a valu aux fenêtres de se faire condamner... Elle est de ce fait naturellement pâle (cadavérique pour certains), mais ca encore, elle s'en fiche, parce que Dieu a inventé le fond de teint, alors une peau super pâle, c'est le cadet de ses soucis. Reste le problème de ses poumons qui, au bout de cinq ans de poussière administrative, et dix ans de poussière tout court sont arrivés à saturation, provoquant crises d'asthme et autres incartades à la moindre occasion (fumée de cigarette, pollen, crise de nerf subite...), mais ca encore, elle s'en fiche. Pourquoi? Parce que la connerie humaine a inventé la volonté.
  Mis à part ces menus détails, on peut dire qu'elle est bien entretenue, la Sarah. Ça, c'est à force de se faire ensevelir sous des tonnes de papier. Elle est capable de faire le 100 mètres en rampant en six secondes, peut survivre livrée à elle même pendant en moyenne une semaine (elle capture sa nourriture), a survécu à l'épidémie de tuberculose qui avait décimé son service... Bref, c'est une GI Joe, mais en encore plus mieux et dangereux!
  Bel exemple appuyant la théorie de Darwin, elle a su évoluer et s'adapter à son environnement. De ce fait, elle a teint ses cheveux en un rouge assez flambant, afin qu'on puisse la repérer de loin dans les papiers, sans oublier de les couper au préalable afin d'arrêter qu'ils se prennent et s'emmêlent dans le premier attrape-rêve qui passe. Ses lunettes, non content de cacher ses rides, cachent aussi son regard noisette qui démontre un esprit indomptable et prêt à toutes les atrocités (surtout les atrocités) pour obtenir ce qu'il estime être son dû. Elle se fait donc passer pour une potiche, et jusque là ca marche. De plus, avec cette apparence en apparence innofensive, elle peut aisément apitoyer les piles de papier qui alors choisiront de tomber sur son voisin, et donc tuer celui-ci plutôt qu'elle.
  
  Vestimentairement parlant, elle met de l'élégant, mais surtout du pratique. Par exemple, elle porte très souvent, quasiment tout le temps en fait une robe qui fait un peu domestique dans l'ancien temps. (en fait, elle en a plusieurs exemplaires). Et bien il se trouve que le bas de cette robe possède des lanières qui peuvent s'attacher à des attaches (si si je vous jure) placées sur le haut, et qui du coup remonte le pli, dévoilant une magnifique jarretière, mais surtout lui permettait d'avoir les jambes libres, et les mains à portée de son kit de survie. En effet, par un moyen de ceintures et attaches, elle a en permanence sur elle une lampe torche, un couteau, des vivres pour une semaine, un briquet (bien qu'elle ne fume pas), un fusil pliable (attaché à sa jambe droite) et des plumes. Oui, des plumes.
  
  
• Description Morale : Alors oui, mesdames et messieurs, Sarah a été saine d'esprit un jour! Un jour. Dans un passé relativement éloigné. Et maintenant? Disons qu'une déchirure du continuum espace-temps juste dans son esprit a malencontreusement détraqué tout ce petit monde. Parce que oui, c'est tout un monde qui règne dans sa tête. La jeune femme se trouve être un tantinet maniaque. Dans l'autre sens. Elle vit dans le désordre, elle se nourrit du désordre. Le souk qu'elle éparpille autour d'elle, c'est sa substance vitale, son oxygène, sa nourriture, ses heures de sommeil qui lui manquent! Elle ne tolère pas qu'on range sa chambre, et encore moins la pièce où elle travaille. Ses drogues: Son bordel à elle, le nutella, et le café. Du vrai, pas cette flotte en boîte qu'on vous sers. Elle a d'ailleurs mis au point une recette spéciale qui tend à mettre plus de café que d'eau dans la préparation, miracle encensé qui a eu pour résultat d'avoir à présent un liquide qui tient en réalité plus du solide. Mais avant tout, sa drogue principale, son héroïne à elle, c'est le travail. Elle doit travailler, classer des papiers, les poser sur des piles qui vont s'écrouler et en faire d'autre. Elle en a besoin. Au point de cesser de manger, de dormir, de se doucher parfois (beaaaah). Elle sème le foutoir, et ce n'est que lorsqu'il y a des papiers et autres encombrants jusqu'à ses chevilles qu'elle se sent complète et apte à travailler. Malheur à l'imprudent qui vient la déranger!! Elle est armée de son fidèle Steven (fier stylo plume de première catégorie qui lui a couté tout le mois de son premier salaire) prêt à transpercer la première main que sa maîtresses désignerait pour la loi du massacre.
  
  Ça, c'est son aspect premier. Le second, c'est lorsqu'elle devient sérieuse. Parce que oui, elle ne l'était pas encore. Lorsqu'elle est sérieuse, donc, elle fait peur. Du moins, les personnes encore saines mentalement à qui on a demandé ont avoué pour la plupart s'être élégamment souillés en la voyant. Premièrement, elle enlève ses lunettes, puis elle se met à... ranger. Ranger, briquer, classer, astiquer, ordonner tout ce qui bouge, passe, et qui avait le malheur de passer à portée de main. Et surtout, elle frappe, coupe, torture, émascule tous ceux ou celles qui ont eu la déplaisante idée de toucher à quoi que ce soit, bouger, ou éternuer. Surtout éternuer en réalité.
  
  Lorsqu'elle est prise hors contexte... Et bien ce n'est pas mieux. C'est une pile électrique qui saute dans tous les sens, qui parle, qui parle, qui parle, qui parle encore, qui pose toujours les questions qu'il ne faut pas poser. Sa manie première? Donner un nom à tout. Les gens, les animaux, les objets, les crottes de chien dans la rue... Tout. D'un caractère totalement inconscient lorsqu'elle n'est pas en terrain hostile, elle serait capable de se jeter d'un pont juste parce qu'elle avait envie de savoir si elle s'éclatera sur le sol avant de se faire écraser, ou bien si elle se fera chopper au vol.
  Il n'y a qu'une seule chose qui ne change pas, que ce soit dans son bureau ou bien dans la rue, c'est sa manière de considérer les gens. Il y a les utiles, les moins utiles, les esclaves, les alliés, et les nuisibles. (Notons que 95% de son entourage entre soit dans la troisième, soit dans la dernière catégorie.)
  Notons qu'il n'est pas rare de la voir partir dans des délires mégalo-maniaques lorsqu'elle est en manque, que ce soit de café, de désordre ou de travail.
  
  
• Pourquoi voulez vous rejoindre les rangs de la Waldon? : C'est trop rangé.
  

JOUEUR

• SURNOM :Sarumi
  
• ÂGE : 17 ans, et toutes ces dents!
  
• Comment avez vous découvert le forum? Quelqu'un qui me l'a montré en invoquant le bon vieux temps d'un pensionnat tristement mort pour me motiver à m'inscrire.
  
• Avez vous été parrainé? Si oui, indiquez le nom du membre qui vous a fait connaître la Waldon! Hill... Zachary Hill
  
• Avez vous déjà pratiqué un meurtre sacrificiel sur l'un de nos clients? Bon par Luo! ( même si ça m'a brisé le cœur de détruire un si joli speech )
  
• Le mot de la fin? La fin a un mot? Connaîtrions nous enfin le fin mot de l'histoire? Et pourquoi il est fin? Je l'ai vu manger à Mc Do la dernière fois!
  
  (Note de la créatrice: Oui, j'étais sobre. Il y a plus de nutella à la maison depuis deux semaines.)