CV

• AVATAR :
  
• NOM: Shelton
  
• PRÉNOM : Ambrosia
  
• ÂGE : 23 ans
  
• DATE DE NAISSANCE : 8 mai
  
• NATIONALITÉ : Anglaise (paternelle), Espagnole (maternelle)
  
• TALENT : Digère la peinture.

• Votre histoire : Elle aurait aimé s’appeler Scarlet, ou quelque autre nom de pouffiasse anglaise. Son prénom jurait avec son nom de famille. Elle était une Londonienne pure et dure la petite Ambrosia malgré son prénom très espagnol. Elle, elle les connaissait toutes les boutiques de Piccadilly. La Tamise, elle la connaissait sous toutes ses coutures. La grande roue, elle y était montée cent fois étant gamine. Elle y avait même échangé son premier baiser sous un ciel gris. Car oui, à Londres le temps était toujours gris, et la peau bronzée d’Ambrosia le savait bien. Elle aurait donné n’importe quoi pour être pâlotte et blonde mais il avait fallu que sa peau semble tannée par un soleil rare en Angleterre. Elle avait de longs cheveux noirs et de petits yeux noirs. Son apparence entière hurlait ses origines. Et ça l’embêtait bien la Ambrosia, elle avait beau être très belle, et que l’Espagne fasse très exotique, il n’en demeurait pas moins que là bas c’était pour les bouseux. La mode y semblait inexistence, et ce pays ne semblait exister uniquement en été à l’aide des plages et de la paëlla. Ca s’arrêtait là pour un Anglais moyen. Plus sérieusement, si Ambrosia (mais où suis-je aller chercher un prénom pareil ? Sur un site spécialisé !) est Espagnole, c’est uniquement parce que c’est original et que les créatrices voulaient des Anglais, alors moi, pour les embêter je viens représenter le Sud, pis l’Espagne, c’est pas le Japon, vous ne serez pas envahi. En y réfléchissant bien, c’est à la mode l’Espagne, ils ont gagné la coupe du monde quand même. J’aurais aussi bien ajouté des ailes noires pour laver les carreaux… Mais ça ne collait pas au personnage.
  
  Pour ce qui est de continuer sur la jeune fille.
  Elle avait sale caractère, c’était écrit dans ses traits, dans son allure, dans la manière dont elle bouge son corps (parfait). C’est le genre de nana qu’on déteste dès qu’on la voit. Et c’est ce que faisait beaucoup de gens. Elle était tellement superficielle que personne ne s’étonnait de sa plastique parfaite. C’est une vérité, une des vérités qui la composait, et il n’y en avait pas tellement, il n’y en avait qu’une autre et pas des moindres.
  
  « Maman ? Maman ! Maaaaaman ! MAMAAAAAAAAAAAAAAN ! » Ainsi la petite Ambrosia, sept ans, appelait sa mère un jour où un orage menacait Londres, elle jouait dans le garage, aux roues de la nouvelle Mercedes-Benz de son père. Sa mère ne venant pas, elle se décida à aller jusqu’au séjour, plusieurs marches plus haut. Arrivait au pied de sa mère, le petit bout de chou, qui avait déjà le regard fripon demanda :
  « Dis, Maman, si je te dis quelque chose. Tu ne t’inquiètes pas ? Tu ne poses pas de questions ? Ce n’est pas pour moi, hein, j’ai rien fait. C’est pour mon enseignement personnel. »
  La brave femme, habituée à toute sorte de caprices et de fantaisie venant de sa fille, poussa un long soupir exaspéré et l’encouragea à continuer, déjà lassée.
  « Est-ce que ça se mange la peinture, on en meurt ? »
  Madame devait avouer qu’elle ne s’attendait pas à ça.
  « Heu… Non, oui, c’est toxique la peinture. »
  « D’accord ! »
  Et à sa gosse de repartir au garage.
  « Tu ne vas pas essayer de tuer quelqu’un avec quand même ? » S’enquit-elle.
  Et la petite voix enjouée de lui répondre que non, elle ne tuerait personne, on n’était jamais sûre avec une gosse pareil. Il n’était pas rare qu’elle malmène certain de ses petits camarades. Laissons donc là la mère perplexe à ses interrogations, et retrouvons la petite fille aux pieds de la voiture.
  
  Près d’elle, il y avait un gros pot de peinture bleu et un gros pot de peinture rouge qu’elle avait ouvert, c’était de la peinture pour bâtiment. Et Ambrosia ne comprenait vraiment pas pourquoi on ne devait pas manger la peinture. L’odeur était alléchante, et puis, quand elle eut gouté, elle n’était pas morte empoisonnée, elle. Elle plongea ses doigts dans la peinture rouge et les lécha. Elle trouvait ça bon, la peinture elle. Sa préférée c’était la rouge, elle avait un goût plus fort et plus juteux, peut-être plus fruité que les autres, la bleu était trop fade. Elle détestait la noire et adorait le côté laiteux de la blanche. Pourquoi donc, elle, elle mangeait souvent de la peinture alors que tout le monde en mourrait ? C’était un de ses petits camarades, hier, qui lui avait dit qu’on mourrait lorsqu’on avalait la peinture. La classe était en atelier création et Ambrosia c’était jeté sur son met favori jusqu’à ce que cet abruti de Donald lui annonce que on pouvait en mourir.
  Eh bien, elle, elle était toujours de ce monde ! Et très fière de l’être !
  Quand même, il n’y avait pas lieu de discutions, l’aquarelle de la maitresse était bien meilleure que la peinture pour bâtiment.
  
  
  
• Description physique : Elle n’avait rien de « chou » ou de « mignon ». Elle avait une sale tête de gamine butée, oui, même à vingt-trois ans. Elle avait les mêmes sourcils toujours froncés et parfaitement épilés. Les mêmes petits yeux noirs enfoncés. Le même petit nez en trompette, la même bouche grimaçante et le même index qui vous pointait d’un doigt mauvais à l’ongle parfaitement manucuré. Ca, derrière sa cascade de cheveux noirs, elle avait fière allure. Parce que bon, elle sera vite ridé avec son air de peste renfrognée à s’en filer des crampes, mais ça ne donnait pas envie de lui dire le contraire de ce qu’elle pensait. Elle aboyait et se moquait à la moindre chose qu’on lui disait, et c’était écrit sur son minois, alors forcément, ça aidait pour se faire écouter. Elle avait le charme exotique et fougueux de l’Espagne, avec sa peau sombre, ses cheveux et ses yeux noirs. Son corps fin et sportif, c’était une belle femme, un peu fatale mais très pétasse.
  
  
• Description Morale : Je l’aurais dit assez ce soir, peut-être mais c’est une peste. Elle est capricieuse, orgueilleuse et tout ce que vous aimez ! Elle sait qu’elle est jolie, elle sait qu’elle est butée, elle aime bien martyriser les pauvres petites choses à l’occasion mais elle s’amuse aussi à affronter les grandes à ses risques et périls. Elle se met souvent bêtement dans le pétrin à cause de son stupide caractère. Elle est fougueuse et redoutable comme si un feu se consumer en elle, c’est une des impressions qu’elle laisse, entre autre. On a tout de même envie de lui tordre le cou dès qu’elle ouvre la bouche, moqueuse et dédaigneuse comme elle est ! Bien sûr, elle a ses faiblesses, elle a plein de faiblesse, il faut juste savoir y appuyer pour qu’elle se roule en boule à vos pieds et se mette à ronronner. N’oublions pas que c’est juste une jeune fille capricieuse à qui le monde n’a jamais encore dit non. Elle vit avec la déception de ne pas avoir était de pur sang anglais et de se trimballer un prénom qu’elle trouve idiot et un physique exactement espagnol. Elle aimait tant la mode anglaise, les bons goûts anglais, hercule poirot, tout ça, c’est son ambiance à elle, le petit doigt levé à l’heure du thé et la fashion week qu’on suit avidement. Et pourtant, il fallut qu’on la surnomme « La Spanish » toute sa vie. Ainsi voilà la passionnelle Ambrosia, grande amatrice de peinture, qui se jette corps et âme dans une entreprise qu’elle ne connait pas, et qui lui fait une très étrange impression.
  
  
• Pourquoi voulez vous rejoindre les rangs de la Waldon? Sa présence à Waldon lui semble, à elle-même, incongrue, c’est Papa Shelton, qui, un jour, regarda son unique petite fille dans les yeux, la petite perle de sa vie, elle avait 23 ans, et il lui dit « trouve toi un emploie ma fille. » Crise de cris, de larmes, de la capricieuse, mais, pour une fois Papa Shelton ne céda pas au charme de Ambrosia et bien décidait à ce qui lui fasse honneur, lui ordonna de trouver un boulot correct. C’est ainsi qu’elle trouve une annonce, un job pas dégradant et pas difficile pour autant, où les conditions était obscur, on ne mentionnait pas ce qu’on y faisait, donc on n’y faisait rien. Non ? :
  

JOUEUR

• SURNOM : Lsky, Matt, Charlotte...
  
• ÂGE : 16 ans!
  
• Comment avez vous découvert le forum? Qu'est tu crois? Ch'u privilégiée moi, les admins c'est trop mes amies zy vas!
  
• Avez vous été parrainé? /
  
• Avez vous déjà pratiqué un meurtre sacrificiel sur l'un de nos clients? Ok by John
  
• Le mot de la fin? J'ai faim, de peinture évidemment...